The world of science has lost one of its most talented chroniclers. Last Friday evening, photographer Philippe Plailly, founder of the Paris-based scientific photo agency Eurelios, was killed in the Dordogne region of southern France when the ultralight airplane in which he was a passenger crashed for reasons that are not yet clear. The pilot was also killed.
Philippe was working on a documentary about the Magdalenian period of the Western European Upper Paleolithic, which stretched roughly from 18,000 years to 12,000 years ago and produced some of the greatest examples of prehistoric art (including the Lascaux Cave.) The accident happened just south of Les Eyzies de Tayac, often called the "capital" of French prehistory because of the density of prehistoric sites in and around the town.
I had known Philippe and his partner, hominid reconstruction artist Elisabeth Daynès, for many years. Philippe's photos occasionally appeared in Science, including this cover for a special issue on hominid migrations that featured his rendition of Elisabeth's reconstruction of two hominids from the Georgian site of Dmanisi.
Philippe's death is a terrible tragedy, but at least he died doing what he lived for: Using his photographic skills to bring science to a wide public. He will be buried in Paris' Père-Lachaise Cemetery on July 24.
Cover photo: Philippe Plailly/Eurelios and AAAS.
PS--I did not have access to a photo of Philippe when I posted this but here is one from a photographer's Web site.
5 Comments
Comme lors de toutes les disparitions brutales de personnes en bonne santé qui vous sont proches, ma première réaction est de ne pas y croire, comme un mauvais rêve.
Philippe a été un compagnon de route dans ma carrière de journaliste scientifique, notamment au sein de l’AJSPI, pendant deux décennies. Nous nous étions mieux connus lors d’un voyage à Nice organisé par une association d’astronomes et d’observateurs du ciel en 1991. Nous avions sympathisé avec le sentiment mutuel d’être sur la même longueur d’onde : moi amoureux des images, lui artisan et photographe de talent, avec en commun la même passion, les sciences.
J’ai le souvenir de son sourire, de sa gentillesse, de sa modestie aussi pour quelqu’un qui avait de vraies qualités humaines et, certainement aussi, humanistes.
Mauvais coup du sort que de savoir que c’est sa passion noble qui aura été à l’origine de sa tragique disparition.
J’ai du mal à croire que je ne reverrai plus le sourire de ce chaleureux compagnon.
Je pense à ses enfants, sa compagne, sa famille et tous les proches de Philippe, à qui j'adresse le témoignage de ma tristesse. Je partage avec eux la douleur qui les frappe.
Il vivra dans nos cœurs.
Jean Segura
Scientific Journalist
jean@jeansegura.fr
www.jeansegura.fr
Anne G
best, Michael
Philippe nous confie quantité de travaux, de regards, une oeuvre, et laisse dans son sillage des êtres plus qu'épatants... Rien n'effacera nos regrets et ce choc de ne plus pouvoir être avec lui, d'entendre ce rire fort. On peut se souvenir, pour tenter d'adoucir son absence, qu'il nous confie ce qu'il portait sur lui comme une braise. L'engagement. Il l'aura poursuivi jusqu'à l'ultime.
Je pense aux siens, à son compagnon du dernier instant. Très fort.
Patrice Lanoy
Warmly,
Victoria Wilde
Photographer
eyespyvw@mac.com
www.victoriawilde.com